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đŸ‘‹đŸŒâ›“2024 : Ce que je laisse derriĂšre moi pour avancer plus lĂ©gĂšre


Se dĂ©lester, s'allĂ©ger, bien ĂȘtre, prendre soin de soi

La nouvelle annĂ©e, c’est souvent le moment de faire des grandes listes de rĂ©solutions (qu’on oublie dĂšs fĂ©vrier, avouons-le 🙈). Mais cette fois, j’ai envie d’aborder les choses diffĂ©remment. Pas de to-dos, pas de pression. Juste une question : qu’est-ce que je peux laisser derriĂšre moi pour avancer plus librement ?

Ces petits poids invisibles, ces habitudes bien ancrĂ©es ou ces croyances, c’est tout ça que je dĂ©cide de dĂ©poser. Parce qu’avancer lĂ©ger, c’est avancer mieux.

Voici ce que je choisis de lĂącher en 2024
 Peut-ĂȘtre que ça rĂ©sonnera pour vous, ou vous inspirera Ă  faire un peu de tri vous aussi. 🎒


Le besoin de plaire Ă  tout le monde

Vouloir plaire Ă  tout le monde, c’est comme essayer d’attraper du vent : impossible, frustrant, et complĂštement Ă©puisant. đŸ˜© Pourtant, combien de fois ai-je avalĂ© mes Ă©motions, dit "oui" alors que mon cƓur criait "NON", tout ça dans l’espoir d’ĂȘtre aimĂ©e ou acceptĂ©e.

Mais cette quĂȘte d’approbation perpĂ©tuelle est un piĂšge. Elle ne fait qu’éloigner de ce qui compte vraiment : ĂȘtre fidĂšle Ă  soi-mĂȘme. DĂ©sormais, fini tout ça ! (Enfin
J’espĂšre !) Je me libĂšre de ce besoin de validation externe. Je suis moi-mĂȘme, et c’est suffisant. Les bonnes personnes resteront, les autres
 bon vent. đŸŒŹïž


Dénigrer mon corps ou mon apparence

Ah, mon corps. Ce compagnon fidĂšle que j’ai si souvent critiquĂ©. đŸ€Šâ€â™€ïž Je ne suis pas grosse, ni maigre, je rentre dans un 38/40 (on vire doucement et durablement sur le 40/42) mais je n’ai pas le corps d’une sportive. J’ai toujours dĂ©testĂ© mon ventre et mes hanches trop larges
 La mode n’a pas aidĂ© non plus (merci les jeans taille basse des annĂ©es 2000 pour ce traumatisme collectif). Bref, toujours trop ceci ou pas assez cela
.

Mais mon corps, c’est bien plus qu’une silhouette : il a portĂ© deux enfants, il me permet de crĂ©er, de respirer, de vivre. En tant que thĂ©rapeute, je sais Ă  quel point le lien au corps est essentiel pour s’épanouir et s’aimer vraiment. Cette annĂ©e, je choisis de le remercier plutĂŽt que de le juger. Mon ventre, mes hanches ? Ils font partie de moi. Et c’est parfait comme ça. 💕


Le syndrome du "je vais tout gérer toute seule"

C’est moi, ou on nous a appris que demander de l’aide, c’est un peu un Ă©chec ? đŸ€·â€â™€ïž Donc dĂšs qu’un problĂšme surgit, mon premier rĂ©flexe est de me dire : "Pas de souci, je vais m’en occuper." Une partie de moi aime cette sensation de contrĂŽle, parce que oui, je gĂšre et tout le monde a l’habitude que je gĂšre, mais Ă  quel prix ?

En 2024, je dis stop Ă  cette charge mentale. Je ne suis pas un robot, ni une magicienne. Et devinez quoi ? Le monde ne s’effondre pas quand je dĂ©lĂšgue, et les gens peuvent mĂȘme m’aider (dingue, non ?). Cette annĂ©e, je choisis de lĂącher prise et de laisser les autres prendre leur part. Parce qu’ĂȘtre forte, c’est aussi savoir dire : "J’ai besoin de toi." đŸ€


Ne pas me fier Ă  mon instinct

Combien de fois ai-je ignorĂ© cette petite voix intĂ©rieure ? Parce qu’on a pas l’habitude d’écouter son corps, ses ressentis. On est cartĂ©sien, on se base sur du concret, des chiffres, du vĂ©cu, du tangible. La petite voix intĂ©rieure ou le corps qui vit une Ă©motion, une Ă©nergie, si on ne l’écoute pas, on laisse filer quelque chose de fort et de vrai pour soi.

Chaque fois que je l’ai ignorĂ©e, je l’ai regrettĂ©. Mon intuition est un outil prĂ©cieux, une boussole intĂ©rieure qui me guide vers ce qui est juste pour moi. Cette annĂ©e, je dĂ©cide de l’écouter davantage. Ce n’est pas toujours rationnel, mais c’est profondĂ©ment vrai.


Ces vĂȘtements qui me rappellent une ancienne version de moi

Vous savez, ces jeans trop serrĂ©s que je garde "au cas oĂč" ? Ou cette robe que j’adorais il y a cinq ans mais qui ne me correspond plus ? Pourquoi je m’inflige ça ? Ces vĂȘtements, c’est comme garder des souvenirs d’une version de moi qui n’existe plus.

Cette annĂ©e, je fais le tri. Je garde ce qui me fait sentir bien maintenant, pas dans un futur hypothĂ©tique oĂč je serais "parfaite". Mon style Ă©volue, tout comme moi, et il est temps d’embrasser cette transformation.


Vouloir ĂȘtre "mieux que" ou "au mĂȘme niveau que" quelqu’un d’autre

La comparaison est le voleur de joie, et pourtant, elle s’invite souvent dans nos pensĂ©es. Sur les rĂ©seaux sociaux, au travail, mĂȘme dans nos cercles proches, il est si facile de se sentir "moins bien" que les autres.

Mais ce jeu de comparaison est une bataille perdue d’avance. Chacun suit son propre chemin, avec ses hauts et ses bas. Et mon chemin, aussi imparfait soit-il, est le mien. En 2024, je me concentre sur mes propres progrĂšs. Mes victoires, aussi petites soient-elles, mĂ©ritent d’ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©es. 🎉


Un mantra pour avancer : "Je choisis ce qui me nourrit, pas ce qui m’épuise"

Si je devais rĂ©sumer mon intention en cette fin d’annĂ©e, ce serait celle-ci : je veux choisir ce qui nourrit mon esprit, mon cƓur et mon Ăąme. Cela signifie dire non aux relations dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, aux obligations qui me vident et aux attentes irrĂ©alistes.

Cela signifie aussi dire oui Ă  des moments de repos, Ă  des activitĂ©s qui me font vibrer, et Ă  des connexions qui me remplissent d’énergie positive.


À retenir : avancer plus lĂ©gĂšre, c’est avancer mieux

DĂ©poser ce qui pĂšse n’est pas toujours facile. Ces habitudes, croyances ou rĂ©flexes sont parfois ancrĂ©s depuis des annĂ©es, mais chaque petit pas compte. À chaque fois que je choisis de m’écouter, de me respecter et de me dĂ©lester de ce qui m’encombre, je fais de la place pour plus de joie, de sĂ©rĂ©nitĂ© et de libertĂ©.


Et vous ? Qu’est-ce que vous laissez derriĂšre vous en 2024 pour avancer plus lĂ©ger ? Partagez vos rĂ©flexions dans les commentaires, cela pourrait inspirer d’autres Ă  faire le mĂȘme voyage. 💛

 
 
 

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